Ezan, auteur, metteur en scène et interprète du spectacle “Bienvenue chez moi” se produira sur la scène du Citron Bleu du jeudi 4 au samedi 6 octobre à 20H.

Le pitch → « Eh oui, fini papa-maman, fini la colocation, pour la première fois de ma vie j’habite seul ! Chaque jour, j’apprends donc à me débrouiller et à devenir indépendant. Mais comment réussir à boucler les fins de mois quand on est un simple humoriste ? Comment gérer des voisins envahissants ? Est-il vrai qu’il faut mettre une balle de tennis dans la machine à laver pour nettoyer une doudoune ou un oreiller ? Doit-on forcément apporter une quiche ou des fleurs lorsqu’on est invité chez quelqu’un ? Bref, j’ai pas mal de questions à vous poser donc venez chez moi, je vous invite ! PS : Vous n’êtes pas obligé d’apporter des fleurs ou une quiche. »

Après avoir joué mon premier one man show « L’Australien », j’ai décidé de tout reprendre à zéro et de redémarrer avec une autre manière de travailler mes spectacles. Je suis parti un mois à Montréal pour tester les scènes francophones et c’est là-bas que j’ai eu le déclic. J’ai donc testé pas mal de nouveaux sketchs et au final j’ai articulé ce nouveau spectacle autour d’un thème principal qui me concernait : vivre seul pour la première fois quand on a 30 ans.

 

Dans ma famille on avait les VHS d’humoristes tels que Muriel Robin ou encore Pierre Palmade. C’est Michel Courtemanche qui va me donner envie de faire comme lui. Je rejouais ses sketchs visuels chez moi et je m’entraînais à faire les mêmes grimaces que lui, mais étant timide j’avais du mal à m’imaginer monter sur scène. Puis je suis parti travailler comme animateur en club de vacances et c’est là-bas que je suis monté sur scène pour la première fois. Depuis je n’ai plus jamais eu envie de redescendre.

 

Quand on parle de la Ville Rose je pense direct au club de foot et surtout au club de rugby. Je suis content de venir enfin à Toulouse car on ne m’en a toujours dit que du bien et ce, à tous niveaux. Hâte de voir si je m’y sens aussi bien que ce que j’imagine.