Les Fous Rires de Bordeaux, c’est tout simplement le 1er festival d’humour d’ampleur à Bordeaux !
80 artistes dans toute la métropole
8 jours
Rire garanti
Des animations dans toute la ville
Imaginé et conçu pour devenir un événement incontournable dans la région, le Festival propose d’expérimenter toutes les formes d’humour.
Parmi les nombreuses soirées proposées tout au long du festival, l’Inglorious Comedy Club, imaginé et présenté par Vérino, s’est délocalisé ce mardi soir au Théâtre Fémina.
Le concept ?
Vérino, en Maitre de cérémonie, ouvre la soirée avec l’un de ses sketchs.
Chaque invité passe ensuite une dizaine de minutes, ponctué par des interventions du Maitre de cérémonie.
C’est donc Aymeric Lompret qui débarque en premier. Véritable OVNI de l’humour, il nous fait rire avec sa nonchalance, une écriture ciselée et une pointe d’humour noir.
Fabien Olicard nous a ensuite donné une leçon de mentalisme. Mêlant humour et véritables techniques de mentalisme, Fabien réussi à créer une complicité immédiate avec le public. Bluffant !
En attendant son camarade de duo, Patrick Chanfray est obligé de nous faire rire… Sans metteur en scène et totalement perdu sans son binôme, son personnage est terriblement attachant et incroyablement drôle.
Nouvelle intervention de Vérino, interrompue par deux amis à lui… Deux trublions cachés dans la salle, pas très contents de ne pas avoir été conviés à la soirée. Yann Stotz et Cécile Giroud s’invitent sur scène. Un duo de chic et de choc explosif et très drôle.
C’est au tour de Mathieu Madénian de nous raconter sa vie. De ses souvenirs d’enfance à l’éducation d’aujourd’hui, Mathieu nous faire rire grâce à des sujets et des situations que l’on a tous vécus.
Le final est assuré par Artus, découvert du grand public grâce à l’émission Danse avec les stars. Il revient sur son passage dans l’émission et nous fait passer un bon moment.
La formule est efficace, de l’humour par tous et pour tous. Un vrai bon moment de rire assuré par une bande de potes qui ne se prend pas la tête et animé par un Vérino au sommet de son art.
Crédits Photos : Sébastien Armand